Facteurs de risques cardio-vasculaires

cardio-vasculaires

Un facteur de risque cardio-vasculaire est un état physiologique, pathologique et même une habitude de vie qui aurait engendré une maladie cardio-vasculaire. Ce sont des facteurs de risque de l’athérome atteignant les artères. Il entraîne leur rétrécissement qui aboutisse à leur occlusion totale.

Les conséquences de la maladie artérielle

Lorsque les artères sont atteintes, la personne qui en souffre peut contracter une angine de poitrine, l’infarctus du myocarde dans le cas des artères coronaires. La maladie des artères est aussi responsable de 80 % des AVC dans le cas où elle atteint les artères encéphalique. Par ailleurs, elle provoque l’artériopathie oblitérant des membres inférieurs lorsqu’elle atteint les artères des membres concernés. Il faut aussi prendre en considération le fait que les hémorragies cérébrales sont responsables de 20 % des accidents vasculaires cérébraux. Ces hémorragies qu’elles soient internes ou externes sont potentiellement mortelles, cependant c’est moins fréquent que les hémorragies cérébrales.

Les facteurs de risque

Des études épidémiologiques révèlent qu’une population ayant des caractéristiques initiales connues suit des traitements médicaux durant des années.  Il faudra aussi prendre en considération les corrélations entre la survenue d’accidents vasculaires ainsi que les caractéristiques initiales. L’étude la plus connue est sans doute celle de Framingham une petite ville américaine dont la population adulte soit près de 5 000 personnes a été suivie médicalement pendant 20 ans. Les facteurs de risque étaient apparus depuis 1961. Avec de telles données, il a été possible de calculer la probabilité qu’un individu soit victime d’un accident vasculaire à un moment précis. La prise d’actions en raison de ces données permet aussi de réduire lesdits facteurs de risque. Cela ne veut pas non plus dire que le risque vasculaire peut diminuer.

Les facteurs de risque cardiovasculaire sur quoi on peut agir

L’âge et le sexe peut augmenter ou diminuer le risque d’accident cardiovasculaire ou cardiaque. Une étude a démontré qu’après 50 ans, chez l’homme et 60 chez la femme ce risque augmente considérablement. Ainsi, les femmes sont plus à l’abri que les hommes faces aux maladies cardiaques et vasculaires. Les hormones les protègent jusqu’à la ménopause. Cependant, après 60 ans elle a la même probabilité que l’homme a développé ce genre de maladie. Puis entre en jeu les antécédents familiaux. En effet, si un membre de la famille a eu une maladie cardiovasculaire, cela peut arriver à ces proches. C’est le cas de l’infarctus du myocarde, le muscle du cœur ou un AVC d’un parent proche avec ses 45 ans.